// LES CHAMBRES D’ANTOINE – Roman

ISBN – 978-2-919402-00-7 – format 12×20 – 162 pages
« Je détestais qu’elle reste là. Je ne supportais pas qu’elle me regarde, silencieusement, dans l’attente d’une prodigieuse transformation. Je ne la supportais pas tout court, à aucun moment, dans aucune attitude ni aucune absence. Elle était ma seule vraie douleur. Et un jour, je le lui ferai payer. »
Marie Dubosq est née en 1975, elle vit en ce moment à Paris. A dix-huit ans elle boucle son premier roman.
A vingt-deux ans elle choisit définitivement de dédier sa vie à l’écriture, peu de temps après elle termine la rédaction de son deuxième roman.
A trente ans elle achève un long voyage autour du monde, elle a écrit des contes, des nouvelles et les Chambres d’Antoine, premier roman publié.
Polar sur fond d’histoire d’amour, l’intrigue se joue du lecteur, de ses personnages, brouille la narration et instaure le questionnement.
Qui est Antoine ? Pourquoi est-il cloué depuis si longtemps sur ce lit dans cette chambre ? Pourquoi n’a t-il comme seule perspective d’avenir que le vide sidérant de l’oubli ? On a envie que ce jeune homme inconnu à lui-même se rappelle vite, car de sa guérison dépendent nos réponses.
// STIGMA – Roman

ISBN 978-2-919402-12-0 – format 12×20 – 364 pages
« Il m’a étendue sur le lit double d’une des chambres. Je dormais quand nous sommes arrivés à l’hôtel. Il a dû me porter jusque-là, mais je sais que je suis dans la 101 parce que la fenêtre est ouverte et que je reconnais le ciel. Je suis nue, Anton m’a déshabillée.
J’attends un peu.
Ce n’est pas moi qui me suis planté une fourchette dans la main, ce n’est pas moi qui me suis sectionné une artère ou je ne sais quoi. Ce n’est pas moi qui suis folle. »
STIGMA (anglais, nom masc.) – στιγμα
Marque que laisse une plaie.
Marque au fer rouge qu’on imprimait autrefois sur l’épaule.
Marque d’infamie.
On nomme stigma du grec στίγμα (signifiant « piqûre »), une ancienne ligature de l’alphabet grec qui ne s’est conservée dans l’écriture actuelle que parce qu’elle sert à la numération alphabétique milésienne, où elle vaut 6.
// VIBRATO – Nouvelles

ISBN – 978-2-919402-03-8 – format 12×20 – 114 pages
« Aujourd’hui, j’ai fait l’amour en buvant du champagne avec un homme d’âge mûr. Cultivé aussi, il m’a parlé du Japon. Quelqu’un est venu qui n’était pas très en forme, alors il lui a offert une coupe.
Il m’arrive des choses consternantes parfois dans le métro. A vous aussi, je le sais.
Dans trois minutes, l’eau atteindra mes pieds.
Heureusement, mon sac est perché sur son siège orange. »
Dans ses 14 nouvelles, Marie Dubosq nous plonge dans l’univers du métro parisien. Nous y croisons des touristes russes, une sans domicile fixe, un guerrier, trois Mexicains, des raies manta…
14 nouvelles, 14 lignes de métro, autant de rencontres, d’histoires d’amour souterraines, de voyages dans le temps.
Tous les livres sont disponibles sur les plateformes numériques au format e-book – https://bruitblanc.fr/boutique/